5 thoughts on “Débat sur l’intégration des Asiatiques en France

  1. Bonjour,
    Je suis entièrement d’accord avec vous qu’il faut nous intégrer dans la société où nous sommes, i.e., la société française. En revanche, nous devons également conserver ce qui est positif de notre origine car chaque culture ne possède pas que des valeurs positives.
    Vous avez bien dit « Le colonialisme a beaucoup de mauvais côtés ». Effectivement, les français ont fait énormément de mal à nos ancêtres mais pour moi c’est de l’histoire. Je n’en ai aucune haine. De ce fait, il vallait mieux avoir un Vietnam indépendant mais non communiste. Malheureusement, nous sommes tombés sous le fléau communiste et le pays recule au lieu d’avancer.
    Je vous remercie d’avoir ecrit vos commentaires.
    Thanh-truc Nguyen
     

  2. UMP va gagner et un ministère de l’identité nationaleet de l’intégration sera créé. C’est une occasion pourles débats sur l’identité et de l’image de la France. J’espère que nous participerons massivement pour quenous soyons intégrés dans l’image de la France,médiatiquement, politiquement… Etre Français à partentière.Je vais le faire, mais pour être efficace et êtreentendu, il faut que nous soyons nombreux (c’est lademocratie) à s’exprimer et à demander à être intégrédans l’identité française.—Nous, les français venant de l’Indochine, nous sommesfrancais depuis plus de deux siecles.Depuis le 19e siècle.Et pourtant, nous sommes complètement ignorés dansl’image de la France, même l’image de la France »diverse ». Le symbole BBB nous exclut également.Pourtant, nos grands-parents, arrières grands-parentsdepuis 2 siècles sont français. Ils ont le même devoirque tous les autres francais de la métropole, payaientles mêmes taxes, avaient la meme éducation (le memeprogramme de lycée, collège…, le bac, lalicence…), ont étudié Voltaire, V.Hugo…, ont tousconstruit la France comme les francais de métropole.Seules différences: ils avaient beaucoup de droit carce sont des citoyens de seconde zone. Mais cetteerreur a été reconnu depuis plusieurs décennies par laRépublique depuis longtempsC’était cette discrimination qui a conduit à lademande d’indépendance et a permi aux communismes(extremistes) d’avoir autant de succès au Vietnam,Cambodge, Laos.Lors que nous venions en métropôle, la plupart d’entrenous (nos grands-parenst ou parents nés avant 1954)sont « ré-intégrés » à la nationalité francaise (càd,redevenir francais), oubien equivalent. Ce qui prouve bien que la Républiquenous reconnait comme des français à part entièredepuis le 19e siècle.Beaucoup de gens de métropole, proche de l’Indochine,nous considèrent aussi comme du meme pays qu’eux.Beaucoup non car ils ignorent l’histoire de la France.Je crois que l’image de la France, l’image médiatique,l’image politique ne doit pas nous exclure!!!Nous devons instruire ceux qui ignorent l’histoire dela France et nous ignorent. Certes, nous nereprésentons qu’un petit pourcentage, mais nous sommesau total plusieurs millions en France, eurasiens(métisses) ou non.Le colonisme a beaucoup de mauvais côtés, maisn’effaçons pas les choses positives.Nous souhaitions réclamer et faire reconnaitre nosvisages comme faisant partie des visages defrancais!!! »Avoir un visage « jaune » ou métissé eurasien est aussifrançais !!!Nous voudrion être réellement intégrer dans l’image dela France,  médiatiquement, politiquement.Nous, les français venant de l’Indochine, nous sommesfrancais depuis plus de deux siecles. Depuis le 19esiècle.Et pourtant, nous sommes complètement ignorés dansl’image de la France, même l’image de la France »diverse ». Le symbole BBB nous exclut également.Pourtant, nos grands-parents, arrières grands-parentsdepuis 2 siècles sont français. Ils ont le même devoirque tous les autres francais de la métropole, payaientles mêmes taxes, avaient la meme éducation (lycée,collège, le bac, la licence), ont étudié Voltaire, V.Hugo…, ont tous construit laFrance comme les francais de métropole.Seules différences: ils avaient beaucoup de droit carce sont des citoyens de seconde zone. Mais cette erreur a été reconnu depuis plusieursdécennies par la République depuis longtemps.C’était cette discrimination qui a conduit à lademande d’indépendance et a permi aux communismes(extremistes) d’avoir autant de succès au Vietnam,Cambodge, Laos.Lors que nous venions en métropôle, la plupart d’entrenous (nos grands-parenst ou parents nés avant 1954)sont « ré-intégrés » à la nationalité francaise (càd,redevenir francais), oubien equivalent. Ce qui prouve bien que la Républiquenous reconnait comme des français à part entièredepuis le 19e siècle.Beaucoup de gens de métropole, proche de l’Indochine,nous considèrent aussi comme du meme pays qu’eux.Beaucoup non car ils ignorent l’histoire de la France.Je crois que l’image de la France, l’image médiatique,l’image politique ne doit pas nous exclure!!!Nous devons instruire ceux qui ignorent l’histoire dela France et nous ignorent. Certes, nous nereprésentons qu’un petit pourcentage, mais nous sommesau total plusieurs millions en France, eurasiens (métisses) ou non.Le colonisme a beaucoup de mauvais côtés, maisn’effaçons pas les choses positives.Nous souhaitions réclamer et faire reconnaitre nosvisages comme faisant partie des visages defrancais!!! »Avoir un visage « jaune » ou métissé eurasien est aussifrançais !!!Nous voudrion être réellement intégrer dans l’image dela France,  médiatiquement, politiquement.

  3. Quand un ministre d’origine asiatique ou eurasien comme Ms C.Rice?Condoleezza Rice (née le 13 novembre 1954 à Birminghamen Alabama) est l’ancienne Conseillère à la Sécuriténationale entre 2001 et 2005 de George W. Bush etl’actuelle Secrétaire d’État des États-Unis d’Amériquedepuis janvier 2005.Elle fut secondée à ce poste de janvier 2005 à juillet2006 par le Secrétaire d’État Adjoint Robert Zoellick.En 2005, elle est classée comme la 1re femme la pluspuissante au monde par le magazine Forbes. En 2006,elle est détrônée par Angela Merkel. Les débuts [modifier]Le père de Condoleezza Rice était conseillerd’orientation pédagogique et pasteur dans l’églisepresbytérienne ; sa mère enseignait la musique etétait une excellente pianiste. Rice entra àl’Université de Denver à l’âge de 15 ans pour étudierles sciences politiques, études qu’elle compléta àl’âge de 19 ans, recevant son diplôme de bachelor avecla mention cum laude. Un de ses professeurs enaffaires internationales était Josef Korbel, père deMadeleine Albright.À l’Université de Stanford, elle fut professeur desciences politiques et trésorière. Elle fit partie deplusieurs conseils d’administration, dont celui dupétrolier Chevron.Condoleezza Rice est une protégée de Brent Scowcroft.Membre du gouvernement fédéral sous le PrésidentGeorge W. Bush, elle fut conseillère de celui-ci pourles affaires de sécurité nationale dès le 22 janvier2001, demeurant, pour certains, une « énigmeidéologique ».Secrétaire d’État [modifier]Condoleezza Rice à Londres, le 1er mars 2005Condoleezza Rice à Londres, le 1er mars 2005Le 16 novembre 2004, elle fut nommée par le Présidentau poste de secrétaire d’État, après la démission deColin Powell.Confirmée en janvier 2005 par le Sénat des États-Unispar 85 voix contre 13, elle fut la première femmenoire à occuper ce poste.En février 2005, l’un de ses premiers gestes desecrétaire d’État fut de venir en Europe pour tenterd’aplanir les divergences et différendseuro-américains, et préparer la venue de George W.Bush. Son seul discours fut prononcé le 8 février, àl’Institut National des Sciences Politiques.En avril 2005, s’appuyant sur les exemples de laGéorgie et de l’Ukraine, elle appela, à Vilnius, enLituanie, au « changement » politique en Biélorussie -pays qui, selon ses dires, serait la « dernière vraiedictature au centre de l’Europe ». Elle n’hésita pas àrencontrer des groupes biélorusses favorables à ladémocratie et au renversement du régime du PrésidentAliaksandr Loukachenko, le tout sous l’œildésapprobateur des représentants de Moscou.En juin 2005, conformément au discours inaugural deBush en janvier 2005 sur l’expansion de la démocratie,Condoleezza Rice tança l’Égypte, pourtant l’un desplus précieux alliés arabes des Étas-Unis auProche-Orient, lors d’un discours à l’Universitéaméricaine du Caire. Elle critiqua à cette occasion,et de façon très sévère, le régime du président HosniMoubarak, dont l’introduction du multi-partisme auxélections présidentielles était jugée insuffisante:demandant des élections « libres, équitables ettransparentes », « l’état de droit à la place desdécrets d’urgence », « un système judiciaireindépendant, et non une justice arbitraire », ainsi que »la protection des militants pacifiques de ladémocratie ». À cette occasion, elle reconnut que«pendant soixante ans, les États-Unis ont recherché lastabilité aux dépens de la démocratie au Proche-Orientet n’ont accompli ni l’un ni l’autre».En juillet 2005, elle annonce la création du programmed’aide « fonds pour la diversification de l’économieafricaine ». (voir Politique des États-Unisd’Amérique).En décembre 2005, dans le cadre de ses tournées dansles pays alliés, elle doit justifier auprès du Conseilde l’Europe et de l’opinion publique européennel’existence de prisons secrètes de la CIA en Europeainsi que l’utilisation d’aéroports européens pour destransferts de prisonniers (« combattants ennemis » selonla terminologie américaine). C’est sur un modeoffensif qu’elle commença sa tournée européenne. Sansconfirmer l’existence de prisons secrètes en Europe del’Est, elle expliqua que les États-Unis utiliseraient« toutes les armes légales pour battre les terroristes», justifiant le transfert de suspects de terrorismedans d’autres pays pour être «interrogés, détenus oujugés» et appelant les gouvernements européens à fairepreuve de responsabilité. Selon elle, ces « renditions» auraient sauvé des vies, y compris en Europe.À l’été 2006, du fait de l’embrasement duProche-Orient avec les affrontements entre Tsahal etle Hezbollah au Liban, Condoleezza Rice joue un rôlecentral : elle nuance la position américaine vis-à-visd’Israël en demandant ouvertement un cessez-le-feu, etobtient un courte trêve de 48 heures de la part dupremier ministre israélien, Ehud Olmert, aprèsl’incident du bombardement de Cana par l’aviationisraélienne.En octobre 2006, elle est allée faire une tournée enCorée du Sud pour remettre la Corée du Nord sur latable de discussions.

  4. Quand un ministre américain d’origine asiatique ou eurasien?Colin Luther Powell est un général et homme politiqueaméricain.Il est né le 5 avril 1937 à Harlem (New York), dansune famille d’immigrants jamaïcains, et fut élevé dansle quartier de South Bronx. Sa mère était couturièreet son père ouvrier.Vétéran du Viêt Nam, il est parmi les premiersconseillers envoyés par Kennedy, et est blessé. Aprèsdeux séjours au Viêt Nam, il est nommé officier deliaison auprès du Secrétariat à la Défense, en poste àWashington. Colin Powell est le premier afro-américainà accéder au poste de chef d’État-major des arméesd’août 1989 à 1993, sans être passé ni par West Point,ni par l’Académie navale d’Annapolis. En tant que chefd’État-Major des Armées, il conduit les troupesaméricaines et alliées à la victoire face à SaddamHussein lors de la première guerre du Golfe[1]. Il estle 65e secrétaire d’État, du 20 janvier 2001 au 26janvier 2005.Carrière politique De 1987 à 1989, il est le conseiller à la Sécuriténationale du président Ronald Reagan et président duConseil National de Sécurité en remplacement de FrankCarlucci. Il est le premier métis et le plus jeuneofficier à occuper de telles fonctions. Il remet del’ordre et ramène le calme dans une institutionsecouée par l’affaire de l’Irangate.De sensibilité plutôt démocrate, le général Powellreste fidèle au parti de Reagan (républicain),entraînant avec lui bon nombre de Noirs américains,séduits par le culte de l’effort personnel(« self-help ») et de la réussite individuelle,spécifiques des années Reagan. Grand admirateur ausside Martin Luther King, il dit un jour que : « Le tempsdes droits civiques appartient désormais à l’histoireancienne des États-Unis. »Un temps pressenti comme candidat républicain à laprésidence des États-Unis, il y renonce, tout comme ildécline la proposition du candidat Bob Dole d’être soncolistier en 1996.George W. Bush, 43e président des États-Unis, le nommeau poste de secrétaire d’État le 16 décembre 2000, leSénat approuvant ce choix à l’unanimité.Le 5 février 2003, devant le Conseil de Sécurité del’ONU, il donne des preuves très controversées surl’existence d’armes de destruction massive en Irak. Ilexprimera deux ans plus tard son « amertume » :interrogé sur ABC, il explique que cette présentation,en grande partie fausse, fait « tache » dans sacarrière.Lors de la campagne électorale de 2004, il avertit deson souhait de ne pas continuer sa responsabilité, ilprésente donc sa démission le 15 novembre 2004 auprésident George W. Bush après sa réélection.

  5. Quand un ministre français d’origine asiatique ou eurasien?Rachida Dati, nommée au ministère de la JusticeRACHIDA DATI, NOMMÉE AU MINISTÈRE DE LA JUSTICEagrandir la photoPARIS (Reuters) – Issue de l’immigration, devenuemagistrate et aujourd’hui ministre de la Justice,Rachida Dati est née il y a 41 ans dans une cité deChalon-sur-Saône où elle a été élevée modestement avecses onze frères et soeurs.Révélation de la campagne électorale de NicolasSarkozy, dont elle fut la porte-parole aux côtés deXavier Bertrand, elle a conseillé le nouveau chef del’Etat en matière d’immigration.Cette jeune femme brune pleine d’énergie, quirevendique une sensibilité plutôt à gauche, a organiséla plupart des déplacements de Nicolas Sarkozy dansles quartiers sensibles.Elle a notamment intercédé pour permettre au candidatde l’UMP, persona non grata dans de nombreuses citésdepuis les affaires de la « racaille » et du « Kärcher »,de débattre avec des jeunes dans une zone populaire deMeaux, le 13 mars.Née le 27 novembre 1965 à Saint-Rémy (Saône-et-Loire)de parents maghrébins – père marocain, ouvrier, mèrealgérienne, femme au foyer -, Rachida Dati incarne unexemple d’ascension sociale.Scolarisée dans un lycée privé catholique, elleeffectue avec succès des études universitaires et esttitulaire de deux maîtrises, en sciences économiqueset en droit public.Très jeune, Rachida Dati doit travailler. A 14 ans,elle fait du porte-à-porte pour vendre des produitscosmétiques. A 16, elle est aide-soignante de nuitdans une clinique privée.Elle y dévore les magazines trouvés dans les sallesd’attente et s’en inspire pour forger ses premièresambitions. La jeune « beurette » est fascinée parcertaines personnalités croisées dans la presse, à quielle écrit parfois.A 20 ans, c’est le tournant. Lors d’une réception,elle aborde Albin Chalandon, alors ministre de laJustice, et lui présente ses projets professionnels.Séduit, le ministre décide de l’aider à lancer sacarrière.Rachida Dati apprend vite et multiplie les rencontres,de Simone Veil à Jacques Attali, en passant parJean-Luc Lagardère et Nicolas Sarkozy.Tout en poursuivant un Deug de sciences économiques,elle travaille comme comptable chez Elf (1987-90).Après une rencontre avec Jean-Luc Lagardère, elleentre à la direction de l’audit de Matra communication(1990-93). Elle passe ensuite un an à Londres à laBanque européenne pour la reconstruction et ledéveloppement (Berd). De 1994 à 1995, elle estcontrôleur de gestion et secrétaire générale du bureaud’études sur le développement urbain à la Lyonnaisedes eaux.De 1994 à 1997, elle est conseiller technique à ladirection juridique du ministère de l’Educationnationale.Sur les conseils de Simone Veil, elle s’oriente versune carrière de droit et entre en 1997 à l’Ecolenationale de la magistrature. Devenue auditeur dejustice au tribunal de grande instance de Bobigny,Rachida Dati occupe les postes de juge à la courd’appel d’Amiens et de substitut du procureur autribunal d’Evry.En 2002, elle devient conseillère chargée del’immigration de Nicolas Sarkozy, pour qui elletravaille sur le projet de loi sur la prévention de ladélinquance. En décembre 2006, elle s’inscrit à l’UMP.Un mois plus tard, elle est nommée porte-parole de lacampagne du futur président.

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